4 décembre 2013
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Il y a quelque temps nous avions écrit ici même que ce blog faisait sa "rentrée". Avec le recul du temps, nous devons admettre cependant que cette affirmation était on ne peut plus prématurée.
Et pour cause : il nous fallait plus de temps que nous le pensions pour redéfinir la ligne du blog sans tomber ni dans la complaisance ni dans du "copier/coller". Il fallait également plus de moyens pour nous équiper afin d’être présent online non pas de façon épisodique mais régulière, histoire d’éviter des "trous d’air" (c.-à-d. des disparitions et apparitions imprévues) susceptibles de décourager les internautes qui pourraient visiter ce blog. Publier des "posts" réguliers et consistent requiert du temps matériel pour préparer les articles (en dehors de nos occupations) ; cela aussi nécessitait d’être étudié et planifié.
Aujourd’hui en tout cas, nous pensons que le temps est venu de faire la vraie rentrée : nous espérons être là chaque semaine. Comme auparavant, notre démarche est celle-ci : faire " une autre lecture " des évènements, qu’ils soient de chez-nous ou de la région africaine des Grands Lacs. A notre entendement, "une autre lecture" implique d’aller au-delà des sentiers battus, sans prendre parti ni jouer à l’arbitre, en s’efforçant seulement de procéder à une analyse des faits (et non pas des rumeurs). Ici, hier comme aujourd’hui, notre démarche reste la même : c’est celle d’un chercheur en sciences sociales et non pas celle d’un opposant ou celle d’un partisan au régime en place au pays. Comme vous ne tarderez pas de le remarquer, nous traiterons souvent des faits négligés par les grands media.
Désormais, puisque les migrations africaines font partie de nos champs de recherche, le sort des émigrés en Afrique australe et dans la région des Grands Lacs sera souvent à l’ordre du jour ici. De même que divers sujets liés à la vie de nos compatriotes, qu’ils vivent là-bas au pays ou dans la diaspora.
Tous nos sincères regrets pour cette longue attente. "YowaBlog", nous l’espérons, sera au rendez-vous chaque semaine. Nous en faisons la promesse.